Sébastien Salingue : Plongeurs Tome 3. Des bulots in profundis
Les tribulations du club de plongée des Bulots, raconté par un dessinateur et moniteur de plongée passionné.
Ole G. Mouritsen : Algues marines : propriétés, usages, recettes
Les algues jouent un rôle de plus en plus important dans nos vies quotidiennes et leur introduction dans nos habitudes alimentaires a permis de populariser leur usage.
Pascal Kobeh : La photo sous-marine en numérique
Un livre qui guidera et conviendra aussi bien aux photographes débutants ou déjà adeptes de cette technique . Ceux-ci bénéficieront de l’expérience exceptionnelle de la part de ce photographe professionnel ; Pascal Bokeh qui parcourt le grand bleu depuis plus d’une vingtaine d’années.
Le livre « 65 épaves en Bretagne » est consacré aux épaves sous-marines présentes au large des côtes bretonnes. Sa rédaction aura nécessité pas moins de 250 plongées pour détailler le plus précisément possible ce fabuleux patrimoine immergé. L’ouvrage est richement illustré par plus de 300 photographies mettant en valeur les vestiges des navires, les espèces colorées qui les colonisent et le paysage maritime breton. Un travail innovant a également été réalisé autour de la modélisation en 3D d’une vingtaine de ces épaves.
Exposition au Palais de Chaillot jusqu’au 26 juin 2016
Dans les mailles du filet, c’est dans un premier temps, l’histoire de la Grande pêche, la pêche lointaine à la morue, dans les eaux de Terre-Neuve, du Labrador, de l’Islande et du Groenland : cinq siècles d’une incroyable aventure technique, économique et humaine pour exploiter une ressource longtemps apparue comme une manne intarissable. C’est l’histoire de milliers de marins partis chaque année dans des conditions difficiles et périlleuses qui inspire, à partir de la fin du XIXème siècle, de nombreux artistes, écrivains, illustrateurs, cinéastes, dont seront présentées les œuvres.
Cette « Grande pêche » si lucrative pendant des siècles a fait oublier qu’aucune ressource n’est inépuisable. L’histoire de la pêche morutière à Terre-Neuve, par ce qu’elle a d’exemplaire, nous invite à réfléchir aux conséquences d’une mauvaise gestion des mers.
Dans un second temps, cette exposition donnera la parole à de nombreux acteurs du débat : scientifiques, décideurs, pêcheurs, armateurs ainsi que les associations engagées dans la défense de l’environnement et de la biodiversité. Les visiteurs pourront interagir avec ces différents acteurs par le biais de dispositifs multimédia innovants et leur poser des questions d’actualité : la pêche en eau profonde, les rejets, l’aquaculture, l’avenir de la pêche et des pêcheurs… Mais parce qu’ils sont également consommateurs, les visiteurs se verront proposer des outils pour mieux consommer et de façon « responsable/durable ».
Le 4 août à 15h45, Arte re-diffusera le documentaire « Le mystère mérou » réalisé par Laurent Ballesta et Gil Kebaili.
Été 2014, sur l’atoll polynésien de Fakarava. Le biologiste marin, photographe et plongeur Laurent Ballesta parvient à observer, avec son équipe, un rassemblement de milliers de mérous marbrés à un moment unique. Chaque année, ces poissons font un long voyage pour se réunir dans une passe et y attendre le jour de la pleine lune afin de se reproduire tous en même temps, dans une chorégraphie brève et spectaculaire. Curieusement, les mâles se combattent violemment alors que la reproduction se fera en groupe et que seul le hasard semble décider de ceux qui auront une descendance. Chaque nuit, des centaines de requins gris profitent alors de l’aubaine pour dévorer les poissons. Mais pourquoi les mérous attendent-ils ce jour précis et prennent-ils autant de risques ? C’est pour répondre à ces questions que Laurent Ballesta et son équipe, avec le soutien des chercheurs du CNRS de Moorea, ont monté cette nouvelle expédition scientifique, « Gombessa II » – la première étant consacrée au cœlacanthe, le fabuleux poisson préhistorique.
Le 20 juillet à 14h40, France 5 re-diffusera le documentaire « Le mystère du dauphin rose » réalisé par Eric Ellena.
Dans les eaux douces de l’Amazone se cache un animal étrange et méconnu : un dauphin d’eau douce. Derrière ses allures de fossile vivant, le dauphin rose d’Amazonie est l’une des espèces les plus mystérieuses du règne animal. D’où vient-il ? Comment ce mammifère qu’on imaginerait plus volontiers au milieu de l’océan est-il parvenu à s’acclimater à cet environnement tropical ? S’agit-il d’un simple descendant du dauphin marin ou d’une espèce à part, venue du fond des âges, qui aurait survécu dans cet environnement luxuriant ? Longtemps ignoré, le dauphin rose était resté une énigme pour les scientifiques qui peinaient à remonter le fil de son évolution.
Des chercheurs viennent de découvrir le premier poisson capable de réguler sa température de manière autonome, comme un mammifère ou un oiseau. C’est en étudiant de près les branchies d’un spécimen capturé au large des côtes de la Californie que les chercheurs ont découvert le secret du tout premier poisson à sang chaud jamais identifié. « J’ai tout de suite noté qu’il y avait là quelque chose d’unique », raconte Nicholas Wegner, l’auteur principal de cette découverte.En général, au niveau des branchies, la circulation sanguine des poissons se limite à quelques gros vaisseaux qui conduisent le sang vers et hors de la zone. Or, dans le cas du lampris-lune, ses branchies étaient au contraire irriguées par un complexe réseau d’artères et de veines intimement mêlées, connu sous le nom de « rete mirabile » (du latin, réseau merveilleux) et pouvant servir d’échangeur thermique. Le tout étant enveloppé dans une couche de gras relativement épaisse, aux vertus isolantes. Le saumon des dieux pourrait-il faire partie du club des animaux à sang chaud (ou endothermes) dont les poissons ont toujours été exclus ? Car si les thons, les marlins et certains requins sont capables de réchauffer certaines parties de leur corps, ils n’y parviennent que pendant un laps de temps relativement court, après quoi ils doivent impérativement regagner des eaux plus chaudes.
Le Pavillon de l’Eau présente Le Monde secret du plancton. Une vingtaine de créations artistiques réalisées en 2014 par les élèves de première année de l’Ecole nationale supérieure des Arts Décoratifs sont à découvrir. Inspirés des découvertes scientifiques réalisées à l’occasion des expéditions Tara Océan sur le plancton marin, un écosystème complexe composé d’organismes souvent microscopiques qui dérivent au gré des courants marins, les artistes présentent entre autres des dessins, des gravures et des sculptures.
Le requin-lutin (ou requin-Gobelin) doit son nom à son physique avantageux et plus particulièrement à sa mâchoire un peu particulière. En effet celle-ci peut se déboîter volontairement à des fins meurtrières…
Mais ne craignez rien! Notre ami est un grand timide qui préfère vivre dans les profondeurs; il vit entre 30 et 1300m de fond. Si vous avez de la chance, vous le croiserez dans l’Atlantique ou l’ouest des océans Indien et Pacifique.
Bien que découvert en 1898, nous ne savons que peu de choses sur lui; très peu de spécimens ont pu être étudiés.
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